Le jour fatidique est arrivé. Nous sommes le lundi 11/02 et c’est mon premier jour de travail. Rien que le mot passe mal. Mais alors là c’est encore pire. Bien sur je n’ai pas repéré le trajet pour y aller, sinon c’est trop facile. Je sais que je dois prendre le U2 à 7h35 et atterrir à 8h04 (monnayant quelques changements de lignes) à Waiblingen. Et encore, il faut marcher encore 1km avant d’arriver chez Bosch (avec les chaussettes offertes par Domie ça passe bien).
Mais au final je suis à 8h30 (oui je me suis perdu) devant le poste de contrôle. Signature de tous les papiers, présentation de la boite (auf deutsch natürlich), et enfin mon tuteur me récupère. Ce qui est bien avec ce tuteur c’est qu’il est français ! Certains diront que je triche, donc je lui ai promis de parler allemand dans deux semaines (je peux en dire des conneries parfois c’est impressionnant). Le boulot est tranquille, je peux arriver entre 7h et 9h et ils ont bien insisté pour que je ne dépasse pas 10h par jour. Comme on dit dans le 42 « ne t’inquiètes donc pas ! » Ca ne risque pas de m’arriver.
Le premier choc se produit à la cantine. Le pain est payant, il n’y a pas d’eau minérale, que des sodas et encore on n’a le droit qu’à un verre ! Le deuxième choc intervient quand mon tuteur essaye, je dis bien essaye, de m’expliquer le système informatique. Tout est codé, carré, bardé de procédures (même pour rentrer la date si si) : la rigueur allemande dans toute sa splendeur. Ce n’est pas à mon stage technique en France que j’aurais vu ça…
Enfin c’est 17h, je pars le cœur léger, le premier jour est passé.
Le premier choc se produit à la cantine. Le pain est payant, il n’y a pas d’eau minérale, que des sodas et encore on n’a le droit qu’à un verre ! Le deuxième choc intervient quand mon tuteur essaye, je dis bien essaye, de m’expliquer le système informatique. Tout est codé, carré, bardé de procédures (même pour rentrer la date si si) : la rigueur allemande dans toute sa splendeur. Ce n’est pas à mon stage technique en France que j’aurais vu ça…
Enfin c’est 17h, je pars le cœur léger, le premier jour est passé.
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